إدارة
Volume 14, Numéro 1, Pages 39-54
2004-06-01
Auteurs : Hocine Cherhabil .
La célébration, en cette année 2004, du quarantième anniversaire de la création de l’École Nationale d’Administration, a constitué un moment fort dans la vie de l’établissement. Elle a été l’occasion de marquer l’évènement dans sa dimension symbolique, mais aussi de porter un regard sur le chemin parcouru, d’évaluer les efforts consentis et d’ouvrir des débats fructueux sur le rôle de l’École et sa place particulière dans le système national de formation supérieure. La création de l’École est considérée, à juste titre, comme l’une des mesures parmi les plus importantes, engagées au lendemain de l’indépendance dans l’œuvre d’édification de l’État. Dans l’esprit de ses fondateurs, elle incarnait la volonté de bâtir une administration à la hauteur des défis que le pays se préparait à relever pour conduire l’entreprise de développement national. Sans prétendre à une analyse exhaustive, la présente contribution s’attachera à mettre en lumière quelques éléments de réflexion, autour de questionnements que l’École s’astreint en permanence à mettre à l’ordre du jour de ses débats : Dans quelle mesure l’ENA a-t-elle rempli la mission qui lui a été confiée ? Comment s’est-elle adaptée aux évolutions qui ont marqué le pays ? Quelle position est-elle appelée à occuper dans le processus de modernisation de l’administration ? Pour mieux cerner et mesurer les termes des problématiques posées, on s’attachera à mettre en exergue la mission assignée à l’École et à apprécier les résultats de son action, en examinant tour à tour ses fonctions en tant qu’outil à la fois d’une politique de fonction publique, de diffusion d’une culture du service public, de production de travaux d’études et de documentation administratives et enfin de mise à niveau et d’intégration de l’administration aux plans interne et externe.
École nationale d’administration, formation supérieure, Administration algérien, Service public.
Thierry Le Roy
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pages 139-147.
Boutefnouchet Assia
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Boudechiche Nawal
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Khebbeb Akila
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pages 369-392.
Benmedjahed Djallel Sidi Mohamed
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pages 66-77.
حميد اتباتو
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Sadouki Kamel
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pages 27-30.