JOURNAL DE NEUROCHIRURGIE
Volume 11, Numéro 2, Pages 5-7
2015-11-13
Auteurs : Belloula Hassan Djamal .
Longtemps les médecins ont estimé qu’ils ne devaient, à l’occasion de l’exercice de leur profession, être jugés que par des initiés et donc par leur semblables. Par conséquent, ils n’admettaient pas que l’acte médical soit banalisé et que le médecin soit traité comme un quelconque délinquant. En témoignent les propos tenus par un magistrat, le procureur général Dupin : «ne pouvaient donner lieu à responsabilité les faits reprochés aux médecins, sortant de la classe de ceux qui, par leur nature, sont exclusivement réservés aux doutes et aux discussions de la science». Evidemment l’évolution des esprits a montré qu’il n’était pas admissible de placer une profession en dehors du regard et du questionnement de toute une société.
Responsabilité médicale, médecine, doutes, société
Boussouf Hamana Naziha
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pages 43-49.
Terrier Emmanuel
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pages 243-261.