الفكر المتوسطي
Volume 7, Numéro 2, Pages 312-325
2018-09-15
Auteurs : Bachir Tiziri .
La traduction est une discipline qui exige de son « disciple » de demeurer « apprenant » même durant son parcours professionnel. Or, tout processus d'apprentissage comprend deux volets principaux : théorique et pratique, lesquels, en raison de leur complémentarité, devraient être entrepris parallèlement, au lieu d’être entrepris dans une optique de dualité. Cependant, en outre du plurilinguisme « inné » dans lequel l’apprenant-traducteur algérien baigne avant même son accès à l’université et qui ne joue pas toujours en sa faveur, la théorie qui lui est dispensée n’accompagne pas toujours la pratique, et la pratique à laquelle il est confronté ne révèle pas toujours les véritables enjeux du métier. A ce titre, notre formation dans le domaine de la traduction et allant nous-même d’un apprentissage académique aux affres de la réalité du terrain, nous a conduite à faire un constat : L’université ne permet pas à elle seule, au diplômé, d’intégrer le marché du travail. Les premiers questionnements qui nous viennent à l’esprit, sont : pourquoi ? et comment en venir à bout ? Dans la présente étude, nous essaierons d’apporter quelques éléments de réponse, en mettant la lumière sur la qualité de la formation dispensée à l'étudiant algérien, nous évoquerons notamment les points de divergences entre la formation universitaire et l’exigence du métier du traducteur.
Formation universitaire, traduction professionnelle, théorie, pratique, formation curriculaire.
Said- Belarbi Djelloul
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pages 132-140.
Boukrous Said
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pages 61-70.
Louni Makhlouf
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pages 804-821.
Brahmi Kamel
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Elmestari Habib
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pages 706-719.