معالم
Volume 14, Numéro 1, Pages 389-400
2023-06-01
Auteurs : Benchennouf Houda . Ouhaibia Billel .
L’écriture est considérée comme une compétence de base à l’école comme dans la société. Beaucoup de littératures, à travers les diverses méthodologies et approches, ont été consacrées à cette activité sans l’avoir -complètement- explicitée. La réalité qui s’impose révèle que, les apprenants butent aujourd’hui encore sur cette macro- compétence, surtout ceux faisant leur entrée dans l’écrit (les apprenants de la 4ème année primaire). D’où la nécessité de leur proposer un outil d’aide susceptible de les appuyer dans leurs productions, dont l’introduction du texte inducteur en pré-phase de production textuelle. Cet outil est censé rafraichir la mémoire des apprenants quant aux caractéristiques du texte (soumis aux règles du genre) à produire (la situation initiale d’un conte dans ce cas de figure), que ce soit sur le plan lexical (emploi des formules d’ouverture), textuel ( respect de la structure du texte), référentiel(les évènements ont et créent du sens chez le lecteur potentiel), métacognitif (réflexivité mobilisant auto-évaluation et autorégulation), etc. La présence d’un modèle(le texte inducteur) dans l’environnement immédiat de la tâche scripturale, peut avoir pour effet une assistance à la gestion cognitive de cette activité (libération de la mémoire de travail) et partant, un renforcement du sentiment de sécurité, indispensable à toute activité, notamment scolaire. Ce qui aura pour effet de réguler son rapport à l’écriture et de le motiver pour la production textuelle.
littératie ; lecture ; écriture
Fatiha Djebaili -doctorante-
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pages 32-54.
Djoudi Souad
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pages 279-289.
Ouhibi Ghassoul Bahia
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pages 11-15.
Abid Ali
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Djebli Mohand-ouali
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pages 1945-1962.
Bouarour Sabah
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pages 159-171.