ALTRALANG Journal
Volume 3, Numéro 1, Pages 26-50
2021-07-31
Auteurs : Al-traif Hamad Bin Ibrahim .
La traduction du Saint-Coran n’a pas cessé de faire couler de l’encre. Depuis les premières ébauches des traductions françaises du Livre Céleste de la religion islamique par Du Ryer, Antoine Galland, Savary ou Kazimirski, les traductions faites par des musulmans se sont multipliées. Celle de l’éminent érudit indien Mohammed Hamidullah a fait date. Elle fut reprise et révisée par le Complexe du Roi Fahd pour l’impression du Saint Coran dans la sainte ville de Médine, berceau de l’Islam. Cette version amendée qui s’est proposé de focaliser sur la dimension dogmatique du texte et de le débarrasser de toutes les entorses au monothéisme pur devait apporter un produit bien fignolé mais ce ne fut pas toujours le cas, que ce soit au niveau idéologique ou au niveau de la traduction fidèle au texte de départ. Nous avons pris un échantillon de cette traduction révisée, sous forme de la sourate coranique N° 22 Al-Hajj pour procéder à une étude comparative entre la version de Hamidullah et la version saoudienne, du Comlexe du Roi Fahd, révisée, en vue de voir de près ce que cette dernière version apporte à celle de l’érudit indien et en quoi, elle lui porte tort, tout en se référant à trois autres traductions coraniques célèbres, dont celle, la dernière en date, de notre collègue doué, Dr. Nebil Radhouane, pour faire la part des choses.
Saint Coran ; verset ; sourate ; version révisée ; modification ; étymologie ; omission ; ajout ; arabisme ; barbarisme ; contresens ; sens littéral ; sens implicite
Ali Kouaouci
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pages 46-77.
Al-traif Hamad Bin Ibrahim
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pages 320-357.
Aktouf Abderrahmane
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pages 242-256.
Maha Nesrine Aggoun
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pages 5-27.