Revue d'économie et de statistique appliquée
Volume 17, Numéro 2, Pages 204-218
2020-05-30
Auteurs : Zidelkhil Halim . Mouhoubi Aissa .
Le financement des déficits budgétaires de l’Etat algérien, entre 2000 et 2019, s’est opéré en faisant appel, hormis au Fonds de Régulation des Recettes et à l’Emprunt National pour la Croissance Economique, à l’autorité monétaire par des séries de dévaluations, de l’ouverture du guichet de refinancement des banques et à la procédure de financement non conventionnel depuis la loi N°17-10 du 11 octobre 2017. Cette étude explique ces financements et tente de déceler leurs conséquences inflationnistes. L’évolution de la taille du bilan de la Banque d’Algérie, de la base monétaire et de la masse monétaire ainsi que l’IPC, suggère des effets inflationnistes des dévaluations, conjuguées à ces modes de monétisations directes ou triangulaires des déficits
déficits budgétaires ; devaluations ; inflation ; Banque d’Algérie
Lalali Rachid
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Zidelkhil Abdelhalim
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pages 833-850.
Kouam Jean Cédric
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pages 108-128.
Maamar Belkhir
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Kenniche Mohamed
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pages 71-88.
Beladjine Riadh
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Mohammed Belkebir Khalida
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pages 360-374.