AL-MUTARĞIM المترجم
Volume 14, Numéro 2, Pages 49-68
2014-12-31
Auteurs : Belgasmia Nora . Guendouzi Amar .
Nombreux sont les textes oraux berbères qui ont été sauvés de l'oubli grâce à la fixation par l'écrit. La transcription de ce patrimoine oral remonte à la période coloniale et se poursuivra après l'indépendance du pays, grâce aux efforts de chercheurs étrangers et nationaux. Cependant, la quasi-totalité du corpus collecté et fixé ne nous est pas parvenu dans sa langue d'origine, en l'occurrence le berbère, mais en langue française, langue de traduction. Aujourd'hui, avec le développement de la théorie de traduction, une évaluation critique de cet héritage en traduction s'impose. Notre article est une étude diachronique qui porte un regard critique sur la traduction de la littérature orale kabyle. Deux concepts empruntés à Michel Ballard ont orienté notre analyse : « conservation » de ce que peut être un « apport réutilisable » et « révision » de tout le reste.
Traduction, Littérature orale Kabyle, Critique, Transposition, diachronie.
Belgasmia Nora
.
pages 161-174.
Tahiri Fatima Abdelaadim
.
Haiti Zohra
.
pages 139-150.
Belgasmia Nora
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Guendouzi Amar
.
pages 126-133.
Zebiri Abdelkrim
.
pages 357-371.
Slimani Nedjoua
.
Zaoui Abderrahmane
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pages 690-699.