مجلة الباحث
Volume 15, Numéro 15, Pages 115-131
2015-06-01
Auteurs : Souki Hakima . Melbouci Leïla .
Les entreprises publiques industrielles algériennes (EPIA) n’ont pas cessé de répondre à la dynamique environnementale et ce depuis 1982. Elles ont procédé à plusieurs restructurations : organique, financière et industrielle. Celles-ci ont causé une perte de compétence par le départ du personnel détenteur du savoir et savoir-faire sans pouvoir le transférer, faute de mise en place d’un processus d’apprentissage au sein de ces entreprises. Par ailleurs, les réorganisations effectuées depuis 1990 ont rendu plus confuse la propriété des EPIA en séparant la propriété de la gestion. Ces formules d’adaptation ont multiplié les relations d’agence. En faisant appel simultanément à la théorie des compétences et à la théorie de l’agence, nous sommes arrivées à la conclusion que la situation des EPIA dans leur environnement actuel et à court terme ne leur permet pas d’œuvrer dans une économie fondée sur la connaissance. Le schéma organisationnel des EPIA ne favorise pas le développement des compétences et la création des connaissances.
Economie de la connaissance, EPIA, Théorie des compétences, Théorie de l’agence, Théorie des droits de propriété.
Ibbou Amina
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pages 130-162.
Guerchouh Mouloud
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Si-mohammed Djamal
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pages 102-115.
Asmani Arezki
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Chikhi Khedidja
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Bouarioua Rabia
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pages 21-34.
Kheddache Fares
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pages 526-545.
Nora Amrar
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pages 1-14.