Les cahiers du CREAD
Volume 38, Numéro 4, Pages 161-187
2022-11-15
Auteurs : Mezhouda Abdelmalik . Thelidji Salim . Nafa Azize . Chohra Mohamed . Tedjani Chamseddine . Benkassir Imen .
Les Partenariats Public Privé (PPP) offrent une importante opportunité aux pouvoirs publics de transférer les risques des grands projets publics au secteur privé et aux usagers des services publics. Cependant, la réussite du partenariat est compromise par l’optimisation de la répartition des risques entre les parties contractantes. Considérant ce postulat, la présente recherche se propose d’explorer les pratiques de répartition des risques mises en place dans un échantillon de PPP en Algérie. En adoptant une approche qualitative, l’étude a porté sur les PPP contractés dans le secteur des transports, des ressources en eau et de l’énergie, en l’occurrence : le port de Bejaia, les stations de dessalement de l’eau de mer, la gestion de l’eau potable (SEAAL) et le métro d’Alger. Les résultats de cette recherche nous a permis de mettre en évidence la performance quantitative comme élément fédérateur pour l’ensemble des partenariats et ce, dans l’objectif de combler le déficit enregistré dans le service public visé par le contrat. . En outre, la répartition des risques n’a pas fait l’objet de négociation ou de cadrage contractuel clair, à l’exception des stations de dessalement de l’eau de mer. Ce secteur s’est doté d’une matrice détaillée d’allocation des risques, présents et futurs inhérents aux projets, élaborée et adoptée par les partenaires.
Partenariat Public-Privé ; Risques ; Répartition des risques ; Infrastructures ; Service public
Khammes Abdennour
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Salmi Madjid
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pages 1218-1238.
Siamer Hadjira
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pages 181-198.
Haddoum Kamel
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pages 50-80.
Kessi Yahia
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Ahmed Zaid Malika
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Djemaci Brahim
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pages 659-670.
Amroun Sofiane
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Sediki Abderahmane
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pages 65-76.