المجلة الجزائرية للأمن والتنمية
Volume 9, Numéro 2, Pages 711-724
2020-07-01
Auteurs : Mokhtari Naima .
La santé publique a, longtemps, était considérée comme une simple absence de maladie. Ce n’est qu’en 1946 qu’elle a pu être considérée comme l’état complet de bien-être. La santé se définit, donc, non seulement par l’absence d’état négatif, mais également par la présence d’état positif. Les recherches scientifiques réalisées après la deuxième guerre mondiale étaient exclusivement consacrées à l’étude du mal-être et tout ce qui se rapporte à ce dernier. À travers cette réflexion, nous allons dans ce présent article, en nous basant sur une revue de littérature, cerner le cadre conceptuel de ce concept. Pour cela, nous allons expliquer la différence entre ce concept et les notions connexes tel que le bonheur. Nous présenterons, aussi, l’apport des sciences sociales à l’étude du bien-être. Nous évoquerons par la suite les raisons pour lesquelles certains scientifiques et particulièrement les sociologues restent réticents à appréhender cette thématique.
Bien-être ; Sociologie ; Théories ; Revue de littérature ; Subjectivité et objectivité
Zennir Meriem
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Allioui Fatma
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pages 111-126.
Guenaou Mustapha
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pages 63-79.
M’hamed Ziad
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Brahim Belkaid
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Lakhdar Louglaithi
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pages 105-113.
Guechairi Farah Naima
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Bouali Razika
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pages 281-301.