المجلة الجزائرية للاتصال
Volume 2, Numéro 3, Pages 59-63
1989-03-03
Auteurs : Mohamed Salah-djilali .
La télévision entre dans nos deuxième âge, après avoir peu à peu conquis, au cours de ces vingt dernières années en Algérie une audience plus forte que n’importe que n’importe quel autre moyen d’expression, la chaine nationale représente désormais, chaque soir de 19h à 22h30, l’unique alternative pour meubler les soirées de deux Algériens sur quatre(1). Des programmes pour la plupart conçus à Alger, diffusés d’Alger, strictement contrôlés, telle est la réalité d’une télévision dont on connait encore mal le fantastique pourvoir. Il reste à prévoir, pour mieux les apaiser à temps, quelques secousses autorégulatrices de l’opinion(2) et à éviter surtout quelques excès qui provoquent, nous disent les sociologues, un effet « boomerang »(3).
LA Télévision
Lounissi Latifa
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pages 417-434.
Djebiri Nedjma
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pages 659-672.
Attar Abdelhafid
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Bouabdallah Wassila
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pages 54-80.
Attar Delhafid
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pages 113-137.
Merabet Zeyneb
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Bouchair Ammar
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pages 106-114.