AL-MUTARĞIM المترجم
Volume 10, Numéro 1, Pages 9-25
2010-06-30
Auteurs : Abderrezak Bannour .
Dans le détail de l’intitulé « Traduction des livres sacrés » décliné sous forme d’un long syntagme nominal se cache le diable de la détermination « des livres sacrés ». Nous avons déjà tant à faire avec la « traduction des livres » pour nous accabler de cet adjectif aussi ambigu que les textes qu’il qualifie. On a d’autant plus envie de se débarrasser de ces pédicules qu’on est des praticiens aux cheveux blanchis (quand on en a) par les soucis de la traduction profane. C’est le même sentiment d’impuissance qu’on ressent devant ces mots qui massicotent comme une guillotine, en donnant l’impression qu’ils rajoutent. Pourtant, nous sommes des gens du Livre (أهل الكتاب) et il n’était nul besoin d’ajouter « sacré » pour épuiser toute l’extension de ce terme. On ne ressentait pas la nécessité d’adjoindre cet adjectif, parce que l’écriture était déjà synonyme de « sacrée ».
Traduction, Écriture, Sacré, Texte, Intraduisiblité.
Mecheti Nesrine
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pages 319-330.
Dahou Noureddine
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Halimi Mohammed-seghir
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Dahou Foudil
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pages 149-157.
Atakpama Wouyo
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Folega Fousseni
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Kpadjao Mazama-esso
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Amouzou Firmin Komi Gédéon
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Ahouadjinou Enagnon Benoit Olivier
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Woegan Yao Agbelessessi
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Akpagana Koffi
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pages 22-32.