Ex Professo
Volume 8, Numéro 1, Pages 254-268
2023-04-10
Auteurs : Sylla Daouda .
Cette étude vise à montrer comment les textes d’Annie Ernaux, en l’occurrence ceux faisant office d’étude (Les armoires vides et L’Événement) répondent à l'esthétique d'un régime autofictionnel. Il sera question d’exhumer pour ce faire, la dimension chronotopique, fragmentaire, d’autocommentaire, de plurilinguisme foisonnant dans notre corpus pour s’en convaincre. Bien avant, nous nous évertuerons à mettre à nu l’esthétique du camouflage identitaire orchestrée par l’auteur. Il est osé mais surtout intéressant de se prononcer sur une telle dimension de catégorisation de textes qui suscitent encore des appréhensions assez divergentes. Cela l’est d'autant plus que l'auteur s'invite dans le débat pour s'inscrire dans une perspective qui s'écarte de la nôtre.
Autofiction, plurilinguisme, chronotope, autocommentaire, Fragmentation
Bensardi Hind
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Abdelouahed Hanae
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pages 55-67.
Isabelle Charpentier
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pages 44-52.
Meless Eugue Sédrac Paul
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pages 97-114.
Benmansour Smain
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pages 502-515.
Kamila Aït-yahia
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Ghidouche Faouzi
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Salaouatchi Hichem Sofiane
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pages 451-460.