Aleph
Volume 9, Numéro 2, Pages 319-333
2022-04-08
Auteurs : Bouaziz Tarek .
La réticence, ce concept rhétorique, représente une technique très récurrente dans la production littéraire, et souvent est exploitée come un choix de l’auteur et cela pour plusieurs motifs : pour exciter l’imagination de lecteur, pour le pousser à réfléchir sur l’indicible à fin de le découvrir, pour limiter le discours pour le fait que il ne se peut tout dire, etc. Dans la production littéraire, et précisément selon la critique de la linguistique générale de l’écriture littéraire, la réticence est présentée sous la forme de silence, tandis que dans le genre fantastique, la réticence constitue une technique utilisée fréquemment par les écrivains fantastiques, par exemple : Fragoletto (1829) de Latouche, La Vénus d’Ille (1837) e Lokis (1869) de Prospère Mérimée, L’Appel de Cthulhu (1928) de Howard Philips Lovecraft et La Répudiation du fameux écrivain algérien Rachid Boudjedra, et non seulement dans les œuvres, mais aussi dans le discours critique comme dans Introduction à la littérature fantastique de Tzvetan Todorov. L’essayiste bulgare a été durement critiqué pour deux raisons : d’un côté, pour l’omission à l’égard de la psychanalyse, comme elle a montré l’essayiste anglaise Rosemary Jackson dans son essai : Le fantastique : la littérature de la subversion, d’un autre, aussi pour l’omission, mais dans sa définition du fantastique qui était incomplète selon Lucio Lugnani e Remo Ceserani, ce dernier dans son essai : Le fantastique.
réticence ; oeuvre littéraire ; oeuvre fantastique ; discours critique
Elgharbi Hamza
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pages 61-77.
Zibardi Matteo
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pages 450-458.
Guasmi Meryem
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pages 229-242.
Achir Leila
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pages 343-357.
Chadli Omar
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pages 550-566.