إدارة
Volume 15, Numéro 2, Pages 17-38
2005-12-01
Auteurs : Mohamed Chérif Belmihoub .
Depuis au moins deux décennies, l’accent est mis sur la bonne gouvernance comme facteur déterminant du développement économique et social au sens large, incluant non seulement la croissance économique, mais également le progrès social, voir même les droits de l’homme. Toutefois, le concept de bonne gouvernance n’est devenu véritablement opératoire et n’a été effectivement introduit dans les pays en développement que récemment, à la suite des premières évaluations des programmes d’ajustement structurel. Depuis, il est devenu un concept dominant, voire incontournable de la gestion des affaires publiques. Sur le plan théorique, un très grand accord se dessine pour reconnaître les effets bénéfiques de la bonne gouvernance sur les pays en développement. Ainsi, il n’est plus contesté qu’elle constitue un facteur de maintien de la paix, de la stabilité sociale et de la sécurité ; qu’elle peut faire disparaître ou au moins atténuer les conflits internes qui fragilisent de nombreux pays et de faire renforcer la légitimité des États et leur autorité. En outre, et bien que cela se discute encore, on affirme de plus en plus le lien entre bonne gouvernance et développement, dans ce sens qu’une bonne gouvernance permettrait aux pays de se développer plus rapidement et de manière plus durable. * Communication présentée aux actes du colloque international sur la Gouvernance, Alger : école nationale d’administration, 20-21 novembre 2005.
Développement durable, développement économique et social, pays en voie de développement, économie de marché, bonne gouvernance.
Belmihoub Cherif
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ص 31-48.
Hamadi Abdelkader
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Datoussaid Aimad
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Redif Mostapha
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pages 18-30.
Nemiri Yaici Farida
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pages 91-111.