دفاتر البحوث العلمية
Volume 9, Numéro 1, Pages 917-933
2021-06-08
Auteurs : Hazzi Salah . Mazouz Brahim .
L’objet de ce travail est d’identifier les connaissances du contenu disciplinaire relatif au concept de la géométrie des édifices covalents maîtrisées par de futurs enseignants de l’Ecole Normale Supérieure (ENS) de Kouba (Alger). Pour décrire cette géométrie, deux méthodes (basées toutes les deux sur le modèle de Lewis) sont proposées : la théorie de Gillespie utilisant la méthode (VSEPR) et la théorie de l’hybridation utilisant la liaison de valence(TBV). Nous chercherons à analyser dans quelle mesure la détermination de cette « géométrie » sous l’angle des deux modèles a été assimilée par les étudiants ? L’analyse des réponses à un questionnaire écrit et des échanges enregistrés entre étudiants lors de séquences d’activités de groupes montre que, beaucoup de futurs enseignants rencontrent des difficultés pour mettre en œuvre une procédure systématique de raisonnement pour représenter la géométrie des édifices covalents sous le formalisme des deux théories. La correspondance entre les deux procédés de détermination de la géométrie des molécules n’est prise en compte que par une infime minorité d’étudiants. De plus, diverses conceptions alternatives concernant aussi bien les concepts de l’hybridation que celle de la théorie de Gillespie apparaissent.
liaison chimique, géométrie, VSEPR, Lewis, hybridation, structure covalente
Ben Ayed Hanen
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Nasri Moncef
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pages 115-125.
Benatmane Zeyneb
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Abadi Dalila
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pages 720-739.
مسعودي بلغازي
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Avram Carmen
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Prunet Anne
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Le Roch Chantal
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pages 50-67.