Revue d'ECONOMIE et de MANAGEMENT
Volume 7, Numéro 1, Pages 212-228
2008-04-01
Auteurs : Echkoundi M'hammed .
Face aux contraintes des lois économiques, la structuration de l'organisation des entreprises a évolué en faisant émerger la technostructure au sens de John Galbraith. Dans cette organisation de la firme émergent d'un coté, les actionnaires et, de l'autre coté, les managers. Dans ces conditions, les actionnaires se retrouvent éloignés du pouvoir de décision et de gestion au profit des managers. Cette distance est source d'asymétrie d'information et d'incertitudes sur la répartition de la valeur ajoutée de l’organisation et de son affectation. Ce qui donne lieu à des conflits que seule une gouvernance dans la transparence pourrait résoudre. En élargissant le dialogue et la concertation aux autres catégories d'employés voire aux usagers des produits et des services de l'entreprise. Toutefois, les actionnaires tendent à ne voir dans la gouvernance qu’un « ensemble des moyens par lesquels les fournisseurs de capitaux de la firme peuvent s’assurer de leur rentabilité >l Or, du fait des relations d’interdépendance entre les acteurs impliqués, un tel objectif ne saurait être être l’objectif monolithique de la stratégie des entreprises ; en clair, il ne saurait être exclusif de ceux des autres acteurs de l’organisation. Cet article se donne donc pour objectif de montrer les limites des modèles de la maximisation de la valeur actionnariale. Dans un 2eme temps, ils 'agira de défendre l’idée d'une gouvernance partenariale, où seront pris en compte les intérêts de l'ensemble des partenaires de l’entreprise.
la gouvernance d'entreprise, maximisation de la valeur actionnariale.
Capron Michel
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pages 192-202.
Salem Abdelaziz
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Khelladi Med Amine Mehdi
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pages 376-387.
Djellab Mohamed
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Khelifa Abdenour
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pages 1469-1497.
Benslimane Amine
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Semaoune Khalissa
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pages 1039-1051.
Bettahar Didia Chaimaa
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Djennane Hayat
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pages 284-298.