les cahiers du mecas
Volume 2, Numéro 1, Pages 137-154
2006-04-30
Auteurs : Achouche Mohamed . Kherbachi Hamid .
La politique de change, en Algérie, est passée par différentes phases depuis l’indépendance jusqu’à aujourd’hui. Mais cette évolution s’est inscrite, grosso modo, dans une ligne d’orientation qui a privilégié la « gestion du taux de change » comme régime de change adopté par les autorités monétaires algériennes. Cette orientation n’est pas propre au cas de l’Algérie. Au contraire, les pays sous développés, dans leur quasi-totalité, ont recouru à cette option avec des spécificités qu’ils estimaient pouvoir leur permettre de gérer de façon efficiente leurs problèmes macroéconomiques d’équilibres externe et interne, et ce, juste après l’achèvement du démantèlement du système de change de Bretton-woods au début des années soixante-dix. Alors que certains pays, les plus développés notamment, ont basculé dans des expériences de flottements, plus ou moins libres, de leurs monnaies. Les pays présentant plus de vulnérabilités ont tendance à appréhender le flottement libre de leurs monnaies, phénomène qu’appelle Carmen A. Reinhart peur du flottement ou «fear floating ». La détermination de la valeur extérieure de la monnaie est une question d’une extrême complexité. Une question que la théorie économique n’arrive pas à trancher clairement jusqu’à nos jours. Le débat sur les mécanismes et fondements théoriques de la détermination du taux de change des monnaies préoccupe toujours les économistes et les responsables de politiques économiques.
la monnaie,politique de change.
Chaouche Saloua Nassima
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Toumache Rachid
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Medhar Mohamed
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pages 56-67.
Chetbani Saida
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Chiha Khemici
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pages 260-281.
Hizia Zaid
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Hamza Taibi
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pages 419-435.
Afroune Nadia
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pages 290-318.
محمد بن مر يم
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مراد باريك
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محمد ترقو
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ص 238-254.