Les cahiers du CREAD
Volume 22, Numéro 78, Pages 71-96
2006-12-14
Auteurs : Abedou Abderrahmane . Kadri messaid Amina .
Dès la Seconde Guerre mondiale, la question du développement social a été une question qui a mobilisé plusieurs écoles de pensée. Afin d’assurer la reconstruction d’après guerre, les Etats se sont positionnés comme étant de véritables entrepreneurs de la reconstruction de leurs pays. Des principes ont émergé, fondés sur la solidarité nationale, sur l’accès au bien être de la population et l’égalité des chances d’accès au service public, à l’éducation et à la protection sociale, etc. Cependant, durant ces trois dernières décennies, les principes de l’Etat providence sont remis en cause. La crise économique, l’augmentation et la diversification des besoins de la population, les problèmes de pauvreté, de chômage, d’exclusion ont accéléré la remise en cause du rôle de l’Etat. Il lui est reproché d’être un obstacle au développement économique, en maintenant la population dans l’assistanat. En somme, il est exigé de l’Etat de se retirer des affaires économiques et de laisser le marché jouer le rôle de régulateur.
développement social-solidarité national-nouvelle gouvernance-l’entreprise citoyenne-développement durable
Abdellatif Nait-chabane
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pages 7-34.
Soraya Bourroubey
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pages 539-552.
Dris Cherif
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pages 8-25.
Decuré Nicole
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pages 33-50.
Benzemra Mankour
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Benabou Djilali
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pages 932-949.