Revue Algérienne des Sciences Juridiques et Politiques
Volume 52, Numéro 1, Pages 45-79
2015-03-01
Auteurs : Nadia Ait-zai .
En dépit des amendements, le code de la famille renferme des dispositions discriminatoires à l’égard des femmes divorcées La pension alimentaire insuffisante, le faible montant du loyer et la perte de la garde des enfants en cas de remariage sont des dispositions inégalitaires en contradiction avec la constitution. De 1962 à 1984 les litiges familiaux obéissaient aux dispositions du droit musulman, et ce, en l’absence d’un code de la famille. La promulgation en 1984 d’un code de la famille à mis fin à cette pratique jurisprudentielle. Cependant cette loi a créée plus d’injustice et d’inégalité dans les rapports homme-femme. Malgré les avancées enregistrées lors de l’amendement de 2008, le code de la famille compte toujours des insuffisances en matière d’égalité homme-femme.
Code de la famille, égalité homme-femme, divorce
تومي العربي
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بوشمة خالد
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ص 122-141.
Bouziane Salima Nadia
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pages 73-87.
نجيب بصيلة
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ص 67-87.
عفاف لامية العياشي
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ص 146-159.
Sai Fatima Zohra
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pages 11-40.