مجلة حقوق الإنسان والحريات العامة
Volume 1, Numéro 1, Pages 21-40
2016-01-01
Auteurs : Sara Elouadi .
La gouvernance s’intéresse à l’architecture et à l’exercice du pouvoir au sein des entreprises, à cet égard, deux grandes visions antagonistes coexistent. La première, fournit une description moniste du pouvoir baptisée la valeur actionnariale, la seconde présente une vision pluraliste permettant l’intégration de tous les stakeholders dans le processus de création de valeur appelée, alors, la valeur partenariale. Notre travail propose une nouvelle grille de lecture de la création partenariale de valeur en s’intéressant à l’actionnariat salarié et à l’actionnariat client. La propriété, procurée par ces deux pratiques managériales, offre un surcroît de pouvoir aux deux stakeholders visés afin de limiter l’enracinement des dirigeants et la dictature des actionnaires externes. La prépondérance de la valeur actionnariale est apparue sous l’influence anglo-saxonne qui accorde un rôledéterminant aux marchés financiers.Outrecette raison institutionnelle, la valeur actionnariale trouve une autre justification dans lathéorie financière traditionnelle, cette théorie considère les actionnaires comme les seuls créanciers résiduels de l’entreprise (Charreaux et Desbrières 1997).
Les critères; la bonne; gouvernance; la promotion; la valeur; partenariale; l’actionnariat; salarié; l’actionnariat; client
Benbraika Abdelouaheb
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pages 7-22.
Mehdi Omar
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Belahcene Mohammed
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pages 63-74.
Hamadi Abdelkader
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Datoussaid Aimad
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Redif Mostapha
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pages 18-30.
Bettouati Hanane
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pages 90-98.