Revue d'économie et de statistique appliquée
Volume 11, Numéro 2, Pages 291-310
2014-12-31
الكاتب : Bellatreche Youcef .
Depuis plusieurs années, l’Algérie a entamé des réformes de modernisation de l’environnement des affaires et de promotion d’investissements directs étrangers (IDE). Cependant, la déception des dirigeants algériens des résultats, loin de leurs attentes, est clairement affichée, notamment vis-à-vis de l’Union européenne, premier partenaire de l’Algérie. En effet, les investissements productifs européens, hors hydrocarbures, représentent seulement 1 % de la valeur totale des IDE en Algérie. Alors, d’où vient le problème d’absence des investisseurs étrangers dans le marché algérien ? Pour répondre à cette question nous allons rappeler, d’une part, le travail effectué par l’Algérie, qui prétend avoir édifié un environnement favorable aux affaires, attractif et moins coûteux par rapport aux pays voisins. Selon les dirigeants algériens, c’est donc l’Union européenne qui n’a pas tenue ses promesses et ses engagements dans l’accord d’association avec l’Algérie. D’une autre part, l’UE considère que le problème concerne directement les investisseurs. Il semblerait que ces derniers n’ont pas trouvé un climat d’affaire avec de bonnes conditions. L’UE estime donc qu’il y a encore des réformes à engager afin d’améliorer le système économique algérien et dans l’attente l’absence d’IDE productifs, hors hydrocarbures, continue et le développement économique est retardé.
Flux – Investissement – Investissement direct étranger – développement
Haid Zahia
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Mokhefi Amine
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pages 306-323.
عياش زبير
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عبابسة سمية
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ص 157-181.
Lamia Rabia
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pages 533-543.
Sakina Mekhmoukh
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pages 175-202.
Chiha Khemici
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pages 29-48.