مجلة أداء المؤسسات الجزائرية
Volume 7, Numéro 2, Pages 2169-2184
2018-04-08
Auteurs : Madouche Yacine . Si Lekhal Karim . Bia Chabane .
L’Algérie ne peut espérer diversifier son économie tant qu’elle sous-estimera l’essor d’un système bancaire moderne privé, capable de jouer un rôle crucial dans le financement de l’activité économique et industrielle. C’est un préalable et une nécessité à toute politique de développement des PME. Si ces entreprises se financent essentiellement auprès des banques dans les économies avancées, il ressort qu’en Algérie, dont le système bancaire est largement dominé par des banques publiques, elles recourent le plus souvent à l’autofinancement, avant de solliciter en dernier ressort un apport bancaire qui n’est aucunement facile à obtenir. Ce resserrement des conditions de crédit pénalise l’essor de ces entités économiques créatrices de richesses et d’emplois. A cet effet, l’objectif principal de cet article est d’étudier la relation entre les entrepreneurs algériens et leurs banquiers : tenter de comprendre les fondements de l’ambiguïté qui caractérise cette relation, expliciter les causes du rationnement de crédit, et proposer une série de solutions de nature à réduire ce phénomène, notamment dans le cadre d’un financement bancaire relationnel.
Mots clés : Système bancaire, PME, Financement relationnel, information, Algérie.
Zirek Sawsen
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pages 228-260.
Mumpambala Luzolo Didier
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pages 123-145.
Ihaddaden Atmane
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pages 84-103.
Ouslimane Meriem
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pages 451-466.
Mimouni Yassine
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Tahraoui Douma Ali
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Bouguetaia Soufyane
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pages 317-327.