Synthèse
Volume 18, Numéro 2, Pages 6-16
2012-10-31
Auteurs : Hacini Nesrine . Brinis Louhichi .
Ne pouvant lutter ou édifier une stratégie contre les facteurs incontournables de l’environnement, l’homme a essayé de domestiquer des plantes qui ont pu progressivement s’adapter aux contraintes imposées. Parmi les voies préconisées, la gestion rationnelle des ressources naturelles, notamment hydriques, figurent parmi les plus privilégiées. L’exploration des mécanismes physiologiques d’adaptation au déficit hydrique chez les céréales permet d’en sélectionner quelques uns pour enfin les introduire dans un programme national d’intensification. A cet effet, dix génotypes de blé dur ont fait l’objet d’étude au plan physiologique, biochimique, histologique ainsi que sur le plan de la vigueur et la viabilité des semences. Les résultats montrent que l’essai topographique au Tétrazolium semble accorder une plus grande vigueur chez les génotypes 1, 3 et 4. L’étude histologique met en valeur les variétés 1, 4, 5, 9, 10 qui montrent une bonne présentation de tous les tissus et ce, sous conditions de stress hydrique. Les osmoprotecteurs tels que la proline et les sucres solubles augmentent avec le stress, démontrant ainsi leur rôle de tolérance ou forme adaptative. La turgescence enfin, montre que V1 et V8 sont plus efficientes à gérer l’échange hydrique foliaire.
Blé dur - Déficit hydrique - Adaptation - Physiologie - Génétique
Morsli Lakhdar
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Brinis Louhichi
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pages 27-37.
Mekliche A.
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Boukecha D.
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Hanifi-mekliche L.
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pages 97-110.
Benmounah Houda
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Brinis Louhichi
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pages 78-86.
Hanifi-mekliche L.
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Boukecha D.
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Mekliche A.
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pages 29-48.
Bahlouli Fayçal
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Bouzerzour Hamena
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Benmahammed Ammar
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pages 19-28.