مجلة الإقتصاد و المجتمع
Volume 1, Numéro 1, Pages 7-37
2002-09-20
Auteurs : Ferguene Améziane . Mohssine-abdali Fatiha .
A l’instar de nombreux pays en voie de développement, le Maroc est confronté depuis une vingtaine d’années à de sérieuses difficultés d’endettement. Moyennant l’application de mesures d’ajustement structurel, des rééchelonnements de dettes lui ont été accordés aussi bien dans le cadre du Club de Londres que de Paris. Les limites de cette approche ont exigé du Maroc et de ses créanciers d’explorer d’autres voies ; parmi celles-ci la conversion d’une partie des dettes commerciales en investissements directs est sans doute la plus prometteuse. Dans le cadre du partenariat euro-méditerranéen lancé à Barcelone en 1995 -et concrétisé au niveau marocain par la signature en 1996 d’un Accord d’Association avec l’U.E.- le Maroc s’efforce de promouvoir une gestion active de la dette fondée, d’une part, sur cette conversion en investissements et, d’autre part, sur un remboursement anticipé des dettes onéreuses grâce à de nouveaux emprunts obtenus à de meilleures conditions. Cette solution qui suppose audace et générosité de la part de l’Europe, jusqu’où est elle appliquée et applicable ? Après une analyse succincte de l’endettement marocain, c’est à cette question que l’article tente d’apporter des éléments de réponse.
Endettement, Economie marocaine, Mesures d'ajustement strucurel
Imekhelaf Rachida
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Ben Bayer Habib
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Labaronne Daniel
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pages 84-100.
Sebti Fouzi
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pages 25-41.
Zahir Haddad
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Salem Mehadi
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pages 297-327.
Abdelwahab Biad
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pages 157-175.