Revue algérienne des lettres
Volume 8, Numéro 1, Pages 180-189
2024-03-19
Auteurs : Nganmo Foyet Marie Michele .
Au sein du noyau verbal, la préposition apparaît au cœur de deux constituants : le pivot morphologique (semi-auxiliaire) à gauche et l’infinitif (son régime direct) à droite, d’où la rection. Mais il n’est point question ici de revenir sur ce fait éminemment éloquent au plan morphosyntaxique. Ce à quoi nous accordons un grand intérêt c’est le rôle de ce dernier dans cette matrice, qui selon nous est au-delà de l’option syntaxique. Ainsi, postuler la prédicativité d’un constituant comme la préposition, surtout les monophonématiques ( à, de et par), peut paraître saugrenue lorsqu’on connaît toute la science développée pour proclamer un point de vue assez parallèle. Cet article propose une autre lecture de cet outil de discours, dont l’utilisation permet non seulement de capitaliser un sens, mais aussi d’en infère un aux constituants qui l’environnent. Par ailleurs, la scrutation du corpus a permis de relever sa fonction narratologique qui se déduit de son utilisation particulière à travers les propos d’un personnage du récit.
préposition ; sémanticité ; verbe prériphrastique ; rection ; contexte
Guetchuechi Gaetan
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pages 191-202.
Haffaf Hassiba
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Hatem Wahiba
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pages 333-345.
Hadjoudja Ouafaa
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pages 218-239.
Lagha Karima
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pages 79-82.
Mohammed Lazreg
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Djamel Torqui Godih
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pages 462-478.