ALTRALANG Journal
Volume 5, Numéro 1, Pages 37-49
2023-06-10
Auteurs : Logbi Hanène .
Dans le souci de conserver le patrimoine culturel algérien, les récits populaires contés sont transcrits dans la langue maternelle et parfois dans une autre langue. Cette opération complexe qui nécessite le passage de l’oral à l’écrit a donné naissance à plusieurs versions. Le transcripteur-traducteur est mis face à des défis d’ordre culturel, linguistique, et stylistique. Il est intéressant de relever dans quelle mesure celui-ci a été respecté dans les différentes versions ? Car, dans le cas précis de la conservation de cette culture populaire, il est impératif de garder l’âme culturelle exprimée à travers cet imaginaire collectif. Cet article examine ce traitement particulier que subit le corpus oral en prenant des exemples concrets issus de la tradition orale algérienne, en arabe ou amazigh, et conservés par l’écrit en langue française. Nous essayerons d’examiner et de déterminer les exigences de base de cette fixation par l’écrit dans une démarche comparatiste des versions orales et écrites.
oralité ; écriture ; versions ; imaginaire collectif ; langues ; contes
Ait Ikhlef Islem
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Krim Nawel
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pages 225-239.
Legault-beauregard Myriam
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pages 39-58.
Hammou Manel
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Bounoura Manel
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pages 281-295.
Mehadji Rahmouna
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pages 152-161.