Hippocampus
Volume 0, Numéro 1, Pages 4-4
2016-03-15
Auteurs : Ainouche Nawel .
Les pays du bassin méditerranéen partagent un espace commun restreint caractérisé par une grande biodiversité marine, qui confère à l’activité de la pêche un caractère multi-spécifique. La durabilité de cette activité dépend de nombreux facteurs, notamment ceux liés au mode d’exploitation : type d’engins utilisés, sélectivité de l’engin de pêche, effort de pêche, les périodes et zones de pêche…etc. Dans ce sens, la Commission Générale des Pêches pour la Méditerranée (CGPM) ou« General Fisheries Commission for the Mediterranean (GFCM) »œuvre pour l’exploitation rationnelle des ressources halieutiques et se présente comme l’organisme de gestion des pêches dont le principal objectif est d’évaluer les ressources, de promouvoir : le développement, la conservation, la gestion et l’exploitation rationnelle des ressources marines ainsi que le développement durable de l'aquaculture en Méditerranée et en mer noire. La CGPM a le pouvoir d'adopter des recommandations pour la conservation et la gestion des pêches dans son domaine de compétence et active en étroite collaboration avec les projets régionaux de la FAO (CopeMed II, MedSudMed, AdriaMed, EastMed). La mise en en œuvre de sa politique et de ses activités est menée par l'intermédiaire du Secrétariat de la CGPM qui est responsable de la planification et de l'exécution des activités politiques et techniques à travers ses organismes. La zone de compétence de la CGPM couvre la Méditerranée, la mer noire et les eaux intermédiaires. Au total, la commission compte27 pays adhérents y compris l’union européenne répartis sur 30 sous régions géographiques (GSAs) (Figure 1).
CGPM, Gestion durable, Pêcheries, Engins de pêche, Effort de pêche, Mer méditerranéenne.
Chakour Said- Chaouki
.
Boncoeur Jean
.
pages 53-77.
Boutarcha Fahima
.
pages 112-136.
Florin Bénédicte
.
pages 13-34.
Verbeck F.
.
pages 659-659.