مجلة المكتبات والمعلومات
Volume 4, Numéro 2, Pages 152-183
2013-01-15
Auteurs : Ksibi Ahmed .
La maîtrise de l’information et de son processus constitue la condition essentielle pour être au diapason de la société du savoir, « bannière » sous laquelle toute la société tunisienne semble adhérer. Dans ce contexte de plus en plus de crédits sont alloués pour l’amélioration des performances du réseau de communication et de traitement de l’information. Le lancement du Réseau National de la Recherche Agronomique (RNRA) autour de l’Institution de la Recherche de l’Enseignement Supérieur Agricoles (IRESA) démontre les efforts et les dépenses consenties pour le traitement de l’information. Le Centre de la Documentation Agricole, CNDA, qui forme, depuis 1974, la première base d’informations agronomique en Tunisie et les investissements attribués aux services d’information et de documentation du secteur agricole confirment qu’ils sont privilégiés. Cependant, ces institutions n'ont pas pu, pérenniser les procédures de collecte, de traitement et de diffusion de l’information. Pendant deux décennies au moins, elles ne sont pas parvenues à trouver les moyens pour la rentabilisation des systèmes d’information en place. Cette investigation essaie de comprendre les problèmes du secteur des Bibliothèques et les Unités Documentaires Agronomiques (BUDAs) et de suggérer quelques propositions pour un système cohérent qui pourrait dépasser, un tant soit peu le blocage actuel des services de traitement et de diffusion de l’information scientifique et technique.
service de documentation et d’information ; modèles de fonctionnement ; système d'information ; l’information agronomique ; Tunisie
Mekki Daouadji Mohamed
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pages 09-15.
Amrar Nora
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Slimani Rahima
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pages 27-39.
M’sadak Youssef
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Haj Mbarek Rim
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Mighri Leila
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Kraiem Khemais
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pages 3-11.