les cahiers du mecas
Volume 1, Numéro 1, Pages 143-157
2005-04-30
Auteurs : Maliki Samir Baha-eddine .
Le rapport de la banque mondiale publié en 2001 débouche sur une conclusion fort optimiste mondialiste, décideur de politiques économiques, qui tient à cette phrase : que l’ouverture sur les échanges mondiaux conduit non seulement à une croissance du PIB mais aussi à une réduction de la pauvreté de façon plus intense et plus significative dans les pays pauvres. Ceci est corroboré par la thèse de Heckscher-Ohlin-Samuelson qui s’énonce ainsi : une économie mondiale totalement intégrée offre les meilleures chances d’optimisation du bien-être de l’humanité. Le problème qui se pose actuellement consiste pour les pays pauvres dont l’Algérie à consacrer une partie de l’investissement destiné à la croissance, à la stabilisation et la satisfaction des besoins sociaux dont une grande partie reste en deçà d’un seuil tolérable. Dans ce contexte, établir des politiques de lutte contre la pauvreté dans les pays défavorisés sera une tache difficile, notamment pour l’Algérie. En 2000, la communauté internationale a arrêté comme suit les objectifs de Développement pour le Millénaire (ODM) : 1- Réduire de moitié, entre 1990 et 2015, la part de population dont le revenu est inférieur à 1$ par jour. 2- Mettre en place un partenariat (Nord-Sud) pour le développement, car, les pays défavorisés ne peuvent pas lutter de façon isolée contre la pauvreté. 3- Offrir aux pays en développement un cadre adéquat pour orienter leurs politiques de réduction de la pauvreté. L’objet de cet article consiste à présenter les différentes de lutte contre la pauvreté en Algérie sur la base des orientations de la banque mondiale et le FMI, tout en mettant en exergue les insuffisances et dysfonctionnement de lors mise en œuvre.
pauvreté, ouverture, mondialisation, politique sociale, inégalité, ciblage
Kaïd Tlilane Nouara
.
pages 65-91.
Hocine Sam
.
Safia Zourdani
.
pages 54-67.
Kendi Nabila
.
Hidra Younes
.
Kaïd Tlilane Nouara
.
pages 120-129.