المجلة العلمية للتربية البدنية و الرياضية
Volume 14, Numéro 1, Pages 337-362
2015-01-15
Auteurs : Abbassi Zohra .
Des études empiriques ont montré que des résistances sociales, inscrites dans les mentalités individuelles, bloquent l’expansion du sport féminin de compétition (kherzabi, 1996). Nous inscrivant dans la lignée de pareilles études(Davisse ; Louveau, 1991), nous nous intéressons au football féminin de haut niveau tel qu’il est appréhendé par les jeunes de 18- à 30 ans.c’est une approche en psychologie sociale du sport qui mesure l’ampleur des difficultés que rencontre en Algérie le football féminin de haut niveau et par extension d’autres sports féminins (Abassi, 2010). Le présent exposé est Issu d’une enquête sur le terrain réalisée en 2010-2011 dans le cadre de l’unité de recherche agrée par le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la recherche Scientifique sous le code R00120060035. Cette enquête ayant eu lieu à Alger a interrogé des jeunes âgés de 18 à 30 ans par le biais de questionnaires comme il est d’usage en sciences humaines et sociales (Chauchat, 1985). 400sujets dont 180 hommes et 220 femmes ont donc été recrutés pour les besoins de l’enquête. Le test du X2 a été utilisé afin de faire ressortir des différences statistiques selon le genre, le niveau d’instruction et le revenu financier. Il ressort de l’investigation sur le terrain que le football féminin a du mal à s’inscrire valablement dans la société algérienne vu les réticences et les rejets des individus.
football féminin, jeunes, représentations sociales
Abbassi Zohra
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pages 141-156.
Halima Amrani
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pages 2-5.
Mokkedes Moulay Idriss
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Zerf Mohammed
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Bengoua Ali
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pages 48-58.
Dakhia Adel
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pages 26-31.
Benmansour Abderezzak
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Rebaine Fayçal
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Zaki Bounemri Saliha
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Haceni Mohamed
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Hafidi Souhila
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Mahdad Dalila
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pages 127-142.