مجلة منبر التراث الأثري
Volume 9, Numéro 1, Pages 226-252
2020-04-30
Auteurs : Siada Salima .
Les épitaphes d’Afrique romaine constituent un corpus qui a longtemps défié la perspicacité des archéologues et plus précisément les spécialistes de l’épigraphie latine. Si celles de Gaule, d’Ibérie ou d’Italie offrent une diversité et notamment pour le formulaire, lui permettant de se distinguer par rapport aux autres provinces ou villes dans une même province, celles de l’Afrique en revanche constituent pour J.M Lassère « une plaie pour l’étude de l’épigraphie latine ». Ce constat exprimé sans découragement, puisque le savant épigraphiste y consacra un ouvrage de grande importance, est valable pour ceux qui l’ont précédé dès le 19ème siècle. La raison principale en est « la banalité du formulaire » qui, chez Charles Vars dans son ouvrage « Cirta, ses monuments, son administration, ses magistrats », donne le ton d’un postulat ayant amené l’auteur à en prendre son parti en révélant qu’exceptée la connaissance de l’onomasticon de Cirta, « les inscriptions funéraires innombrables ne présentent en général que fort peu d’intérêt ». Nous avons choisi de nous intéresser aux épitaphes de la ville de Cirta et de nous pencher sur cette banalité dans l’espoir d’en dégager d’autres questionnements susceptibles d’intéresser des questions autres que l’onomastique.
Cirta ; -Epitaphes ; -Littératie
مضوي خالدية
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ص 33-66.
Nafa Aziz
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pages 57-87.
Prao Bini Kouamé
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pages 890-901.
Chalal Belkacem
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Dupuis Xavier
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pages 385-404.
Belbah H
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Meddour A
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pages 55-60.