مجلة إشكالات في اللغة و الأدب
Volume 9, Numéro 1, Pages 704-720
2020-03-15
Auteurs : Merdji Naima . Roubai-chorfi Mohamed El Amine .
Le dernier récit autobiographique Dieu, Allah, moi et les autres de Salim Bachi introduit une écriture provocatrice sur une thématique qui tourne autour de la foi, acquise et perdue à la fois. Tout au long de son récit, l’auteur affirme son incrédulité et se dérobe de ses obligations envers Dieu. Il se remet en question, tout en comparant deux modes de vie différents. La question principale qui s’impose dans ce travail c’est : la sécularisation caractérise-t-elle son écriture ? C’est dans cette perspective que trois axes sont de rigueur : Son esprit se sécularise petit à petit en développant un esprit rationnel qui lui permet de mettre à nu toute une doctrine. L’expérience détrône la croyance et dirige le flux de sa pensée. L’ironie dans son écriture semble être un procédé d’apaisement, un moyen par excellence pour philosopher sans choquer son lecteur.
sécularisation ; rationnel ; ironie ; écriture ; autobiographie
Merdji Naima
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pages 166-179.
Slimani Ismail
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pages 431-442.
Saci Faika
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pages 41-47.