Revue d'ECONOMIE et de MANAGEMENT
Volume 13, Numéro 2, Pages 144-170
2014-05-01
Auteurs : Moussouni Habiba . Sahnoune Meriem .
En vue de favoriser la croissance, les pays que ce soit développé ou en développement se sont engagés dans des réformes de dérèglementation et de libéralisation financière, alors des crises bancaires ont largement évolués. A cet effet, le Comite de Bâle, institue en 1974 par les gouverneurs des Banques centrales des pays du « Groupe des dix », s'appelait initialement le Comite des règles et pratiques de contrôle des opérations bancaires établi suite à de graves perturbations sur les marchés bancaires internationaux; après la faillite de la banque Herstatt en Allemagne occidentale et de la banque Franklin National à 1 'Etats Unis. Ce comité a été lancé des accords dite accords de Bâlois(Bâle I en 1988, Bâle II en 2006 et Bâle III en 2009) dont le but d 'améliorer la stabilité du système financier international par 1 'introduction d 'exigences de fonds propres applicables à toutes les banques et d'améliorer ainsi la qualité de la supervision bancaire dans le monde à partir de la mise en œuvre des normes minimales de surveillance, amélioration de l'efficacité des techniques utilisées pour le contrôle international des activités bancaires. L'Algérie de leurs partie introduit des différents réformes et améliore leur intermédiation bancaire afin de s’adapter aux normes prudentielle international et de garantir en effet la solidité du système bancaire algérienne
les accords Bâlois, réformes bancaire, l'intermédiation bancaire algérienne.
Malek Merhoun
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Imane Benhalima
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pages 57-80.
Eyih Sidi
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Bouchetara Mehdi
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pages 831-842.
Moulay Khatir Salih Sabri
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pages 01-28.
Tahraoui Mohammed
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Benbayer Habib
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pages 505-519.